Un repas festif pour le Noël de la Nièvre

L’équipe de Nevers a organisé, « en long, en large et en travers ! », le repas de Noël à la maison du diocèse, rue Gustave Mathieu, à Nevers.

Le mercredi 20 décembre, à la veille des vacances scolaires, plus de 80 personnes étaient conviées à la maison du diocèse de Nevers : bénévoles, accueillis, équipe d’animation spirituelle, membres de l’administration de la maison du diocèse, l’aumônier Philippe Vivier, le vice-président du Secours Catholique de la Nièvre; de nombreux prêtres qui officient dans les paroisses du Neversois ont aussi fait acte de présence lors de ce moment attendu et tellement important pour les cœurs de nos familles fraternelles...

Et l’ambiance était puissante !

En présence d’un duo musical charmant, traditionnel et rigolard : l’orchestre tourbillon’cé ! Le « cé » a été ajouté après la récupération du pupitre rouge avec leur nom de scène, fabriqué il y a plus de 50 ans. Comprenez le jeu de mot ou le jeu de son : tourbillon est quelque peu devenu « tour Beyonce »... Whatever... Ce groupe est déjà connu du Secours Catholique de la Nièvre. Une autre formation musicale, de ces mêmes membres, plus rock’n’roll, qui se font toujours appeler « les deux mains gauches » et très appréciée de notre père Noël Pascal, avait chauffé la place Chaméane en pleine crise COVID. On a même raconté au milieu des chansons et des assiettes qui partaient et revenaient des mains de Lilas, de Sylvie, de Didier, et j’en passe... que des personnes jamais vues, ni d’Adam ni d’Ève, dans les locaux du café sourire avaient demandé à partager ce moment de musique presqu’interdit...

En parlant de chansons, pendant l’entrée, lorsque le duo de musiciens locaux faisaient une pause, Sylvie a lancé un refrain ô combien célèbre, celui des « 1000 colombes ». « Allez, je ne vous entends pas ! » criait-elle juste avant le refrain.

Le plaisir juste existait. Pas faux, pas excentrique, simple, Il était là. La bonté était là. Le partage et l’envie de vivre, dans la joie, les brouhahas des histoires personnelles, les rires, les incitations à la blague sur qui fredonne le bon refrain, la vibrance de la fraternité, sans distinction de quelconque statut, ni d'ordre social.

Les enfants aussi étaient de la partie !
Parce que cette équipe du Secours Catholique de Nevers avait trois invités surprises ! Le père Noël certes... la mère Noël, évidemment... et le lutin, magie ! Ces trois compères du repas de fête au diocèse ont donné aux grands le sourire et aux petits, non sans timidité, la joie de la fête et des chocolats dans un petit sachet transparent. D'ailleurs, les grands aussi ont raffolé des chocolats de Noël.

Au menu de ce repas délicieux :
Un pâté en croûte soit au porc, soit au poulet ; une pièce de dinde, haricots verts et pommes noisettes ; fromages ; bûche pâtissière et bûche glacée.

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