Le pape François part d’un constat assez sombre de la société, observant que : «
plus les contacts s’établissent, plus on se trouve isolé ». Au-delà d’un défaut, «
c’est un défi de faire en sorte que l’augmentation de ces communications correspondent à plus de solidarité », commente François Euvé. Dès le début de l’encyclique, le pape se réfère à saint François d’Assise. Une perspective dans laquelle «
la fraternité est fondamentale ».
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