
Une sortie qui devient une bonne habitude
Contrairement à l'an dernier à Bèze, la chaleur marque déjà ce mois de juin, lors de la sortie commune prévue par les équipes de Nolay, Brazey/saint Jean de Losne et Nuits-saint-Georges !
Les consignes sont "repérer l'ombre où on pourra se réfugier", et "boire suffisamment". Le bonne surprise au point de rendez-vous, c'est qu'au château de Savigny les Beaune, que nous allons visiter, il y a largement de quoi se garer dans l'enceinte. À l'entrée, on nous pose un petit casse-tête, on nous demande un seul chèque pour tout le monde pour bénéficier de la réduction de groupe... alors que les bénévoles devaient payer chacun leur entrée séparément. Après discussion entre nous, nous trouvons un arrangement.
Le parcours dans le parc est assez long, et chacun le fait à son rythme. Les bancs à l'ombre ne restent pas longtemps inoccupés. À la fin, personne ne se fait prier pour la photo de groupe.
Le restaurant à plus de vingt, ce n'est pas rien !
A l'entrée de Beaune, on nous a réservé une grande tablée dans un restaurant Buffet Asiatique. Il faut enlever puis rajouter des tables, jusqu'à ce que nous soyons capables de nous compter correctement. La formule du buffet semble convenir à tous, car la tablée est rarement complète : les chaises vides dénoncent ceux qui sont partis se resservir. Grâce à la patience du garçon à la caisse, le défilé des membres du groupe qui viennent régler se termine sans encombre.
Une étonnante fraîcheur
Les merveilles ne manquent pas au sud de Beaune. La demande était qu'on passe l'après-midi à la campagne. Certains ne verront que le point de vue de saint Romain le Haut, et devront rentrer à Brazey. Pour les autres, le filet d'eau qui tombe encore de la cascade ombragée du Bout du Monde sera l'occasion d'une fraîcheur surprenante et bienvenue. Par ce temps-là, la tentation est grande de se mettre dessous. On a l'impression que c'est au moment de se quitter qu'on entre vraiment en
conversation. Qu'à cela ne tienne, suite l'an prochain. Jacqueline de Nolay a déjà plein d'idées.
Dominique Challet, Nuits-saint-Georges