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Thème
Vie de l’association
Commune
Côte-d'Or, Yonne, Nièvre, Saône-et-Loire

Jacques Maigné, nouveau président de la délégation Bourgogne du Secours Catholique

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Officiellement en poste depuis le 29 mai dernier, Jacques Maigné succède à Chantal Sur comme président de la délégation Bourgogne du Secours Catholique.

Natif de Paris, Jacques Maigné possède de solides attaches familiales en Bourgogne, à Nuits-Saint-Georges et Aloxe-Corton où, enfant, il venait en vacances. C'est d'ailleurs à Aloxe-Corton qu'il s'est établi à sa retraite en 2021 « tout en gardant un pied à Paris où habitent mes deux filles et mes quatre petits-enfants », précise-t-il.
Marié, issu d'une famille catholique, ingénieur diplômé de Centrale Lyon, Jacques Maigné a effectué l'essentiel de sa carrière professionnelle, de 2009 à 2021, en tant que président du groupe Hutchinson, filiale de Total Energies, où il a développé l'activité aéronautique.  Heureux dans son activité professionnelle, « pas un seul matin je ne me suis levé du mauvais pied », il dit avoir bien aimé la communication interne et sociale, deuxième volet de son activité, et aujourd'hui il reconnaît avoir gardé de bons contacts avec certains représentants syndicaux.

Apporter sa compétence ?


Jacques Maigné était déjà investi depuis sa retraite comme président du conseil d'administration de Centrale Lyon et dans un fonds belge de financement de start-ups, lorsqu'une connaissance lui a parlé du poste de président de la délégation Bourgogne du Secours Catholique. « J'ai demandé à rencontrer des membres de l'association » car, confie-t-il, « même si c'est un milieu qui m'est familier, je suis novice dans ce type de bénévolat ». Mais l'idée d'apporter sa compétence « au service des personnes qui sont aidées » lui a plu et il a accepté.
Son bénévolat, le nouveau président l'envisage plutôt sous l'angle opérationnel : encourager les liens et échanges entre les équipes, développer des synergies avec d'autres associations, « nous partagerons la même cause, pourquoi ne pas davantage travailler ensemble ? ». Sans oublier le contact direct avec le terrain : « dialoguer avec les bénévoles, voir ce qui plaît, ce qui déplaît, c'est primordial pour avancer ».


 

Auteur et crédits
Anne-Marie Kaiser